La Presse

LE SPECTACLEDISTRIBUTION FICHE TECHNIQUE

HISTORIQUE

PHOTO/VIDÉO – PRESSE – DOSSIER TÉLÉCHARGEABLE

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La compagnie Annibal et ses éléphants vous propose de renouer avec le grand cinema, version « II était une fois dans l’Ouest » parisien. Au programme « The Wild Witness », le premier western français tourné en 1919 par leur aïeul sous le pseudo de John Ford. Des comédiens hauts en couleur jouent en direct la bande-son (dialogues, bruitages, musique) Ils crèvent littéralement l’écran, dégainent les gags plus vite que leur ombre et n’hésitent pas à enrôler le public quand ils manquent de figurants. Du sang, de la sueur, des larmes et des rires Méfiez-vous, ces cow-boys de l’humour visent juste! Thierry Voisin – Télérama
“ Tout est là pour nous captiver maintenir notre attention par le rire et la surprise, assagir les assoiffés de qualité technique et de démonstrations pédagogiques. Le spectacle apparaît comme un OVNi dans la jungle des déjà-vus et lieux communs du théâtre de rue. Les comédiens comblent tous les domaines d’exigence, quelle générosité!” Julie Lemaire – Rue du Théâtre -Namur “ Ce Film du Dimanche Soir tient en haleine son public familial 90 minutes durant. “ Emmanuelle Dreyfus – Stradda « Du rire, avec la compagnie Annibal et ses éléphants et son très drôle Film du dimanche soir. » Geraldine Kornblum – L’Humanité  » Triple A pour le western de série B. Autant le dire d’emblée : « Le film du dimanche soir » de la Cie »Annibal et ses éléphants » est une délicieuse sensation de ce « Villeneuve-en-scène » cru 2013.Mené a un train (sifflera troisfois) d enfer ce gig avec guitare-harmonica et guimbarde ne quitte jamais les etriers. Une épopée grandiose qui prend vie sur l’écran mais aussi et surtout dans les cabines des bruiteurs, sur la plate-forme des projectionnistes, sur la scènede la baraque foraine et dans les gradins. Pas Vilarien, ce théâtre la, mais diablement populaire «  La Provence “ Le Film du Dimanche Soir a eu pour effet d’entraîner le public dans une aventure digne d’une chevauchée fantastique;” Le Télégramme de Brest “ Ces cinéastes, pas du tout sages comme des images, offrent un voyage bourré d’humour, de trouvailles scéniques, de références aussi; Au delà de la fantaisie permanente de ce spectacle ambitieux, c’est une belle leçon de 7eme art qui est proposé au public. Avec en point d’orgue cette réflexion si juste : le véritable cinéma, c’est celui que le spectateur se fait dans sa tête. L’Avenir – Namur  » Le film du dimanche soir est aussi une astucieuse façon de montrer le cinéma en train de se faire, d’en comprendre les ressorts techniques et scénaristiques et de mesurer que le cinéma, c’est aussi du spectacle bien vivant. Les personnages du western échappent à leur rôle, sortent du cadre, reprennent leur liberté, les acteurs entrent dans l’écran « à force de vivre, souffrir et mourir » ensemble, l’identification est totale. Et le spectateur devient acteur… presque malgré lui. La magie enfantine du western opère. C’est jubilatoire. »     Le Midi Libre  » Plébiscité au festival belge « Namur en mai 2011 », ce spectacle forain est une perle rare, un chef-d’oeuvre de technique et d’humour.  »   Le Courrier de la Mayenne  » La séance de cinéma en plein air proposée par la compagnie « Annibal et ses éléphants » a confine au chef-d’oeuvre. Le résultat de la magie du septième art couple intelligemment avec un théâtre pour tous. La projection du « Film du dimanche soir » en plein air sur les bords de l’Oise a été le point d’orgue du festival « Festi’ Artere Publique » La Gazette de Pontoise  » Annibal et ses Eléphants vous convient à un grand, un très grand moment de théâtre et de cinéma forain. » L’Observateur du valenciennois “ Annibal a réuni une grande troupe d’éléphants amis, venus de tous les  horizons du théâtre de rue pour réaliser un film en noir et blanc . C’est  un  authentique western  américain mais, au second degré, avec tous les clichés dont nous  nous régalons. Ce “premier western de long  métrage français présenté à Annibal Palace” est un bel exploit technique  très divertissant, et on ne boude pas son plaisir, comme dans un film du  dimanche soir.  Le spectacle  va connaître une tournée importante, et c’est justifié. Edith Rappoport – Théâtre du Blog